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Recherches philosophiques qui, inspirées par l'idée du neutre, vont au-delà du scepticisme vers une interprétation moderne et différentielle (historique et intemporelle) du devenir du principe de raison.

Hegel et la tristesse des dieux dans l'art classique grec

Tête de Zeus, Artémision, C. 460. Bronze. Musée National, Athènes.

Tête de Zeus, Artémision, C. 460. Bronze. Musée National, Athènes.

- L'art classique grec crée un idéal libre (spirituel dans son indépendance pure et absolue) [1] à partir de représentations qui ont  un sens immédiatement mythique (nourri par les croyances populaires, naïves ou par les légendes) et religieux : "L'artiste classique travaille dans l'intérêt de la religion de son peuple et de son pays, en usant du libre jeu de l'art pour rendre les croyances religieuses et les représentations mythologiques plus claires, plus sereines, plus affinées."[2] "Le divin doit être conçu comme unité du naturel et du spirituel ; l'un et l'autre font partie de l'Absolu." [3]

 

- Si l'art classique, mode d'être idéal de l'esprit, [4]contient parfois quelques éléments symboliques, ils sont dépassés par l'esprit (par ce qui est achevé et clair en soi[5]) : "L'art classique ne peut qu'être un produit d'un esprit libre ayant une claire co science de lui-même.(…) Sa production se révèle notamment comme le travail d'un homme réfléchi qui sait ce qu'il veut et peut ce qu'il veut, qui a une idée parfaitement claire du contenu substantiel qu'il veut rendre perceptible et possède le pouvoir technique qu'exige sa réalisation." [6]

 

- L'art classique grec réalise un idéal spirituel de clarté et de précision : "Seul le spirituel est ce qui tend à la lumière ; tandis que ce qui ne manifeste pas et ne porte pas en soi sa propre explication ne participe en rien de l'esprit et mérite de retomber dans la nuit des ténèbres. Mais le spirituel se manifeste et se débarrasse, en déterminant lui-même sa forme extérieure, des alluvions de l'imagination arbitraire, du vague et de la confusion des formes et de tous les accessoires d'un symbolisme trouble." [7]

 

- L'idéal de l'art classique grec unit, interpénètre complètement et adéquatement une forme et un contenu limités où l'esprit (une individualité intérieurement libre) domine ce qui est naturel (l'étrangère réalité extérieure, la naturalité pure et simple) en l'idéalisant, c'est-à-dire en sélectionnant et en transformant ses matériaux immédiatement sensibles sans les supprimer afin de créer une œuvre d'art "parfaite" [8] :  "Par l'élimination de l'informe, du difforme, du symbolique et du laid." [9] "C'est dans l'idéal que se trouve réalisée cette union du contenu et de la forme qui caractérise l'art classique." [10]"L'esprit se manifeste lui-même et, malgré tout ce qu'il nous donne et tout ce qui est fait pour lui, il reste toujours lui-même, tandis que la lumière de la nature rend perceptible non elle-même, mais ce qui n'est pas elle, ce qui lui est extérieur ; après être sortie d'elle-même, comme l'esprit, elle ne rentre pas ensuite, comme lui, en elle-même et n'acquiert pas ainsi cette unité qui consiste à rester ce qu'elle est, tout en étant dans ce qui n'est pas elle…" [11] "Or, l'indépendance de la signification dans l'art exige que celle-ci trouve sa forme, le principe de son extériorisation en elle-même. Elle doit certes revenir au naturel, mais de façon à dominer l'extérieur qui, n'étant qu'un aspect de l'intériorité, n'existera plus comme objectivité naturelle, mais privée d'indépendance propre, ne constituera désormais que l'expression de l'esprit. Grâce à cette pénétration réciproque, le côté naturel et extérieur, transformé par l'esprit, devient lui-même significatif en soi, au lieu d'être le vague reflet d'une signification séparée de sa manifestation extérieure et différente d'elle. Cette identification adéquate du spirituel et du naturel ne s'arrête pas à la neutralisation des deux côtés opposés, mais le spirituel se trouve porté à une totalité plus haute qui consiste à se maintenir dans ce qui n'est pas lui, à idéaliser le naturel, tout en s'exprimant dans et par le naturel. C'est sur cette sorte d'unité que repose le concept de l'art classique." [12]

 

- Entre le spirituel et le naturel, il n'y a aucune séparation, car, clairement, le spirituel et l'extériorité "forment le concept du tout", [13] chaque commencement étant un aboutissement [14] puisque "la beauté classique s'engendre elle-même". [15] "La principale occupation des dieux grecs consiste à s'engendrer." [16] Dès lors, ce n'est pas en tant que dieu, "mais en revêtant l'aspect d'un animal ou un autre aspect naturel" [17] que Zeus, père des dieux, accomplit sa sensualité déréglée… "Hercule est le seul homme qui ait pénétré dans l'Olympe, qui, de mortel, soit devenu dieu." [18] "Quelle est la nature des nouveaux dieux de l'art grec ? (…) C'est leur individualité concentrée, pour autant que celle-ci, débarrassée de la multiplicité de détails accessoires, d'actions et d'événements isolés, est conçue comme une, en soi, et rattachée par tous ses traits à un foyer unique." [19]

 

- L'expression extérieure et adéquate de l'humain est celle d'un "corps humain animé de vie et de spiritualité",[20] qui est, "dans son objectivité exempte des vices de la finitude" [21] c'est-à-dire une réalité "embellie, achevée, animée, vivifiée, pénétrée par l'esprit." [22]"Cette forme est la forme humaine, car elle est seule capable de révéler le spirituel d'une manière sensible.(…) À travers les yeux, on peut voir l'âme humaine.(…) La corporéité n'a pas d'autre signification que celle qui lui est conférée par l'esprit." [23] " Car la sculpture, qui donne une représentation perceptible des dieux en leur attribuant une forme précise, constitue le vrai centre de l'art classique…" [24] "La sculpture, qui doit rendre perceptibles les idéaux dans toute leur pureté, est bien obligée de représenter les caractères et les expressions comme étant ceux de corps vivants, mais elle le fera sans pousser à l'extrême l'individualisation extérieure." [25] "Le travail proprement artistique consiste à représenter les dieux comme effectuant des actions humaines et à fondre les détails des événements dans l'universalité du divin." [26]

 

- L'idéalisation crée une représentation fictive, voire fortuite, celle de diverses divinités anthropomorphes produites par l'imagination, qui s'inspire "des puissances spirituelles de la vie" [27] tout en étant  étrangère à ses horreurs…

 

- Aucune représentation divine n'incarne l'absolu qui ne saurait se réaliser effectivement ni dans son individualité particulière (Apollon, Zeus, Dionysos…) ni dans le devenir historique des êtres humains : "L'individualité spirituelle des dieux n'est conçue, ni dans ses rapports avec ce qui lui est extérieur ou étranger, ni au point de vue des conflits et des luttes où elle se trouve engagée en raison de sa particularité…" [28]

 

- L'union calme et sereine d'un contenu spirituel (idéal) avec la forme qui lui est adéquate représente une singularité autonome (divine) qui vit dans sa perfection idéalisée. "C'est à l'esprit que le contenu des dieux grecs doit son invincible fixité, non à l'esprit dans son intériorité abstraite, mais à l'esprit conçu comme identique à son expression extérieure et adéquate, ne faisant qu'un avec cette expression, - comme, chez Platon, l'âme et le corps, - ne formant avec elle qu'un seul bloc, bref à l'esprit en tant que le divin et l'éternel. " [29] "La beauté libre et parfaite ne saurait s'accommoder d'une existence finie déterminée."[30] "Ce repos (des dieux) le plus vigoureux, qui n'est ni rigide, ni froid, ni mort, mais méditatif et immuable, constitue pour l'art classique le mode de représentation le plus élevé et le plus adéquat. Lors donc que les dieux classiques apparaissent dans certaines situations et actions, celles-ci ne doivent pas être de nature à donner lieu à des conflits, mais, inoffensives en elles-mêmes, elles doivent laisser les dieux aussi paisibles qu'auparavant." [31]

 

- Le caractère paisible et le contentement des "dieux plastiques éternels " [32] manifestent une libre universalité et spiritualité qui se suffit à elle-même, même si elle nous paraît froide et indéterminée : "Le contentement est le sentiment que nous procure l'accord entre notre subjectivité individuelle et la situation dans laquelle nous nous trouvons, que nous l'ayons créée ou provoquée nous-mêmes ou qu'elle s'impose à nous comme un donné." [33]  

 

-La mythologie grecque "ne présente pas un tout systématique" [34]. Chaque divinité "condense la variété et la richesse de l'individualité dans une seule détermination, celle que nous appelons le caractère." [35]

 

- Pourtant, le contentement des multiples dieux particuliers [36]est relatif puisqu'il peut provoquer le mécontentement du monde entier, même si "un éternel sérieux, une inaltérable sérénité auréolent le front des dieux, et  rayonnent sur toute leur figure". [37]"Mais dans le vrai idéal cette délimitation (l'individualité par le caractère) ne doit pas être poussée jusqu'à l'unilatéralité finie du caractère : le contact avec l'universel ne doit jamais être rompu et le retour à l'universel ne doit jamais être rendu impossible. Et c'est ainsi que chaque dieu, individualité divine et, par conséquent universelle, tout en état doué d'un caractère précis, apparaît en même temps comme un Tout dans le Tout et occupe le milieu entre l'universalité pure et simple et l'abstraite particularité. C'est ce qui imprime au vrai idéal classique l'infinie sécurité et l'infini repos, la béatitude exclusive de tout souci et la liberté que rien ne vient entraver." [38] "C'est à cause de cette universalité qu'on avait reproché aux dieux grecs une certaine froideur. Mais ils ne sont froids que pour nous dont la vie intérieure est enfermée dans des limites étroites qui lui cachent l'infini ; mais considérés en eux-mêmes, ils respirent la chaleur et la vie, la paix sereine et heureuse qui se reflète dans leur corps et n'exprime que le détachement du particulier, l'indifférence pour toutes les choses caduques, un renoncement aux apparences extérieures, renoncement auquel ne se mêle aucun sentiment de déception ou de tristesse, mais qui n'est qu'un renoncement aux choses fugitives et terrestres, de même que leur sérénité spirituelle plane au-dessus de la mort, du tombeau, du temps et des pertes, toutes choses négatives qu'elle neutralise, en raison même de sa profondeur." [39]

 

- Pourtant ce contentement des dieux va devenir douloureux lorsque leur renoncement aux choses terrestres et leur sérieux repliement libre sur eux-mêmes les rendra "désolés d'avoir un corps" [40] en contradiction avec la grandeur de leur âme : "Mais plus le sérieux et la liberté spirituelle s'affirment dans les figures des dieux, plus s'accentue le contraste entre leur grandeur, d'une part, leur précision et leur corporéité, de l'autre. On dirait que les dieux bienheureux sont désolés de se sentir heureux et d'avoir un corps ; on lit dans leurs figures le sort qui les attend et dont le développement, en faisant ressortir réellement et de plus en plus la contradiction entre la grandeur et la particularité, entre la spiritualité et l'existence sensible, déterminera finalement la décadence de l'art classique." [41]

 

-La beauté des dieux fait en effet naître une contradiction (un négatif sans distinction et division qui est celui d'une "opposition" [42]) entre leur grandeur spirituelle (noblesse et élévation sublime de leur esprit fondu dans la beauté) et leur expression corporelle, sensible et particulière :  "Grâce à cette beauté, ils semblent dominer leur corporéité, ce qui donne lieu à une opposition entre leur bienheureuse grandeur, qui est un être-en-soi spirituel, et leur beauté qui est extérieure et corporelle." [43]

 

- Ensuite, cette opposition crée une chute de l'éternel dans l'éphémère : "L'esprit paraît plongé tout entier dans sa forme extérieure et, cependant, il la dépasse pour plonger en lui-même. On dirait que c'est un dieu immortel qui se mêle aux hommes mortels." [44]  En dominant le corps, l'esprit est alors attristé d'être réduit à la finitude de sa représentation éloignée de l'absolu : "Par leur sublime liberté et leur sérénité spirituelle ils dominent tellement leur côté corporel que, malgré toute leur perfection et toute leur beauté, leurs membres doivent faire l'effet de quelque chose de surajouté et de superflu." [45] "Cette tristesse laisse déjà deviner, pressentir la destinée des dieux, puisqu'elle montre qu'il existe quelque chose de supérieur, de plus élevé qui les domine et qui rend nécessaire le passage des particularités à leur unité générale." [46]

 

- Ainsi le négatif de l'opposition entre l'éternel dans l'éphémère est-il "immanent au Tout indivisible et s'y exprime" : "Il s'y exprime par cette nuance de tristesse qui n'a pas échappé aux hommes doués d'une fine sensibilité et qui se dégage des statues antiques, même de celles dont la parfaite beauté est pleine de grâce et de charme." [47]

 

- L'union calme et sereine d'une représentation idéalisée avec sa forme ne réalise pas, en conséquence, la nature absolue de l'esprit, mais "sa généralité abstraite" et "négative",[48] c'est-à-dire "la sublimisation et la sanctification de l'imagination" [49] en exprimant "une intériorité qui, jusque dans sa manifestation extérieure, n'exprimera qu'elle-même." [50] "Ce qui nous frappe dans ces dieux, c'est, en premier lieu, leur substantielle individualité spirituelle…dont l'activité, en pleine indépendance du monde extérieur, (est) immuable et se suffisant à elle-même." [51]

 

- Seul l'esprit est sublime (libre et serein), même lorsqu'il est incarné dans une belle apparence.

 

- L'abstraction concerne une intériorisation particulière (ou générale) de l'esprit lorsqu'il est détourné de sa nature universelle, comme un mot par exemple : "Le mot dans son imprécise extériorité ou son abstraite intériorité." [52] De plus, l'unité supérieure (la puissance une et universelle) qui dépasse les particularités des dieux individuels dans l'art classique grec est "une abstraction dépourvue de forme, la nécessité, la destinée qui, dans cette abstraction, n'est que le supérieur en général qui possède bien le pouvoir de contrainte sur les hommes et les dieux, mais reste en soi incompréhensible et ne se laisse ramener à aucun concept.(…) C'est pourquoi elle demeure sans forme ni individualité, comme une nécessité abstraite." [53]

 

- L'art classique reste lointain, anthropomorphe et abstrait pour une spiritualité qui vise l'absolu : [54] "Il ne représente que l'harmonie de l'individualité libre et déterminée ayant trouvé son mode d'existence adéquat, ce repos dans la réalité, ce bonheur, cette satisfaction et grandeur en soi, cette éternelle sérénité et béatitude en soi dont l'action ne cesse de s'exercer, en l'adoucissant jusque dans le malheur.(…) L'art classique ne dépasse pas les limites du terrain pur de l'idéal vrai. (…) La beauté apparaît, sous la forme de ses individualités plastiques, si spirituellement concrète, si riche, en possession d'un clavier aux sons tellement multiples que l'Absolu et l'Inconditionné n'ont plus qu'une valeur secondaire…" [55] "Étant donné que la nécessité en soi n'est pas un attribut des dieux particuliers, ne fait pas partie du contenu de leur autodétermination, mais plane au-dessus d'eux comme une abstraction échappant à toute détermination, la particularité et l'individualité se trouvent en fait soustraites à sa contrainte effective et restent libres de s'approprier tous les traits extérieurs de l'humain et toute la finitude de l'anthropomorphisme, ce qui a pour effet de transformer les dieux, d'en faire tout le contraire de ce qui constitue le concept du substantiel et du divin." [56]

 

- Il manque à ces subjectivités fortuites, insatisfaites et finies (privés de chair et de sang) l'absolu, l'expression concrète d'une "intériorité infinie et vraie en soi. "[57] : "Cet art est encore incapable de représenter Dieu comme une spiritualité libre et absolue." [58] "C'est que l'aspiration vers le lointain et le vague ne représentait pas pour les Grecs, comme elle le fait pour nous, l'aspiration la plus haute, la plus digne de l'homme, mais était considérée comme une damnation et valait à ceux qui en étaient possédés l'exil dans le Tartare." [59]"L'œuvre d'art est donc incapable de satisfaire notre ultime besoin d'absolu. De nos jours, on ne vénère plus une œuvre d'art, et notre attitude à l'égard des créations de l'art est beaucoup plus froide et réfléchie... Les beaux jours de l'art grec et l'âge d'or du Moyen Âge avancé sont révolus." [60]

 

- Accorder l'imagination et la raison : à la tristesse de Zeus succède la joie de Spinoza dont la sagesse humaine accorde sa puissance créatrice avec les forces vitales ; ce qui lui permet de s'élever vers l'infinité concrète de la Nature.

 

[1] "L'essence de la liberté consiste à n'être ce qu'on est que par soi-même" "Ce qui caractérise l'esprit libre, c'est de pouvoir, conformément à son concept, revenir à soi, rentrer en soi, être pour lui-même et être là." Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, pp.31 et 33

[2] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.28.

[3] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.50.

[4] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.98.

[5] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.19.

[6] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.25.

[7] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.72.

[8] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.29.

[9] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.92.

[10] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.7.

[11] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.81-82

[12] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.15.

[13] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.16.

[14] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.30.

[15] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.31.

[16] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.35.

[17] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.48.

[18] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.77.

[19] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.95.

[20] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.31.

[21] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.16.

[22] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.19.

[23] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.18.

[24] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.54.

[25] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.118.

[26] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.119.

[27] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.115.

[28] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.101.

[29] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.72.

[30] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.100.

[31] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.102.

[32] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.100.

[33] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.100.

[34] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.105.

[35] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.108.

[36] "Le cycle des dieux grecs est formé par une multiplicité d'individus, dont chacun, tout en ayant un caractère précis et particulier, représente en même temps une totalité qui comprend également les attributs d'un autre dieu. (…) Ils ne sont ni le particulier abstrait, ni l'universel abstrait, mais l'universel, qui est la source du particulier." Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, pp.103-104.

[37] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.98.

[38] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.96.

[39] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.100.

[40] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.101.

[41] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.101.

[42] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, pp.98-99.

[43] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, pp.97-98.

[44] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.99.

[45] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.99.

[46] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.129.

[47] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.99.

[48] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.97.

[49] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.10.

[50] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.14.

[51] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, pp.95-96.

[52] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.57.

[53] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.129.

[54] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.21.

[55] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.22-24.

[56] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.130.

[57] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.131.

[58] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.52.

[59] Hegel, L'Art classique, Aubier, 1964, p.71.

[60] Hegel, Introduction à l'esthétique, Aubier, 1964, p. 42 et p.43.

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À propos
claude stéphane perrin

Claude Stéphane PERRIN. Professeur de philosophie à la retraite, j'écris et je lis en méditant sur le problème de la non-violence, notamment à partir d'une idée non indifférente et non nihiliste du neutre .
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