Recherches philosophiques qui, inspirées par l'idée du neutre, vont au-delà du scepticisme vers une interprétation moderne et différentielle (historique et intemporelle) du devenir du principe de raison.
20 Avril 2014
Dans son livre, intitulé Cherubinischer Wandersmann, Angelus Silesius a écrit : "La rose est sans pourquoi, fleurit parce qu'elle fleurit, N'a souci d'elle même, ne désire être vue." Qu'en penser ? Dans un texte paru dans "Der Satz vom Gründ" en 1957,...
En savoir plus16 Avril 2014
- L'obscurité effrayante des profondeurs de la maladie. Lorsqu'un homme s'enfonce dans les épreuves terribles de la maladie, sa pensée morcelée, privée de repères, d'horizon ou d'ouverture, souffre de sa perte de force. Elle se dilue peu à peu dans un...
En savoir plus14 Avril 2014
Détail d'une photographie de Nietzsche prise par Held en 1873 et reproduite dans l'ouvrage de Geneviève Bianquis, Reider, Paris, 1933, p. 24. Un amour bien distinct entre l'ombre et la lumière inspire à Nietzsche un clair repli sur soi. Pourquoi ? Peut-être...
En savoir plus12 Avril 2014
Nietzsche et l'image impossible de l'infini. L'homme, face à l'immensité du monde qui lui suggère une image rêvée du Tout, ne saisit que des images finies (des phantasmes), que des lointains, et non l'infinie présence de la Nature qui n'est ni connaissable,...
En savoir plus9 Avril 2014
Nietzsche et le simple. Deux citations nous donnent à penser que la falsification de la simplification n'empêche pas le philosophe de viser tout de même le simple, c'est-à-dire ce qui lui permet de penser la dangereuse fusion du simple et du complexe...
En savoir plus9 Avril 2014
Maurice Blanchot, commente ainsi la vision de Nietzsche : L'éternel retour est : "l'absence d'être comme recommencement (…) La pensée de l'éternel retour reste étrange dans sa vieille absurdité. Elle représente le vertige logique. (…) C'est la pensée...
En savoir plus6 Avril 2014
a) L'ombre de l'homme dans le monde. Ordinairement, dans les paysages du monde, les ombres sont l'écho assourdi d'une intense lumière. Elles animent les reliefs en paraissant aussi fugitives et indécises que des souvenirs... Passives, elles paraissent...
En savoir plus5 Avril 2014
Le voyageur au-dessus de la mer de nuages (Der Wanderer über dem Nebelmeer) (1818). Détail d'une œuvre de C.D. Friedrich reproduite dans C.D. Friedrich, Le Tracé et la transparence, Centre Culturel du Marais, Paris, 1984. Fig. 59, p. 82. HST, 74,8 x 98,4...
En savoir plus28 Mars 2014
Une oeuvre d'Elise PERRIN-DESTRAZ L'amour de l'imprévisible . Inspirée par la puissance infinie de la Nature, chaque nouvelle création de forme effectuée par un homme paraît surgir d'un simple geste, comme lorsqu'un joueur lance ses dés afin de se...
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