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Recherches philosophiques qui, inspirées par l'idée du neutre, vont au-delà du scepticisme vers une interprétation moderne et différentielle (historique et intemporelle) du devenir du principe de raison.

Bachelard et la rêverie

Détail d'un tableau d'Elise Perrin-Destraz intitulé Dérive aux nuages dans la pénombre, 2007, HST, 41 x 33 cm.

Détail d'un tableau d'Elise Perrin-Destraz intitulé Dérive aux nuages dans la pénombre, 2007, HST, 41 x 33 cm.

   Comment philosopher afin de chercher à comprendre les ondulations des rêveries de Bachelard sans se laisser fasciner par elles ? Pour ne pas contourner le problème, il est sans doute nécessaire de rassembler toutes les perspectives matérielles et formelles des songes et des rêveries afin d'en rechercher les fondements les plus clairs. Et, n'y en aurait-il pas deux possibles, l'un psychologique, l'autre métaphysique ? Dans cet esprit, interrogeons d'abord la réalité du psychisme humain qui, dans ses actes les plus détendus, somnole, rêvasse ou rêve, en imaginant d'une manière peu concentrée, c'est-à-dire en s'ouvrant sur des images et sur des sonorités nouvelles, tout en déformant ou reconstruisant les représentations fournies par la perception. Car, pour Bachelard, l'imagination créatrice est bien ce qui détermine chaque rêverie, soit pour donner vie à des formes nouvelles, soit pour combiner diverses forces matérielles hétérogènes.

   En fait, lorsqu'elle n'est pas banalement reproductrice, d'un point de vue psychologique, l'imagination dépasse la réalité aussi bien psychique que physique, et en dépit de ses possibles et inévitables divagations, elle peut néanmoins être conceptualisée a posteriori, notamment comme la puissance intellectuelle et sensible qui dépend du centre fictif et instable d'un rayonnement et d'un repli, précisément lorsque la production psychique d'images ou de sonorités nouvelles se dédouble selon deux pôles opposés : "L'imagination est le centre même d'où partent les deux directions de toute ambivalence : l'extraversion et l'introversion." [1] Cela signifie que l'imagination, comme source imprévisible et fondamentale de nos diverses rêveries, et surtout de nos rêveries les plus reposantes, se déploie à partir d'un centre insaisissable qui détermine soit une unification des images et des sonorités par attraction, concentration, fascination ou simplification, soit leur diffusion par répulsion, prévision, transformation ou dilatation (par exemple celle d'un monde intérieur en un cosmos).

   Dans les deux cas, les images et les sonorités, imaginées et rêvées, n'expriment pas la volonté d'un sujet totalement conscient et souverain, mais le vouloir de la puissance de la nature qui agit selon chacun différemment, ce qui implique la volonté de n'importe quelle subjectivité soucieuse de commencer à imaginer sans vraiment pouvoir penser librement l'épreuve de ses rêveries, c'est-à-dire en étant contrainte d'accepter les nécessités de l'esprit et de la matière qui, pour Bachelard, ne surgissent que dans des instants bien distincts et très fugitifs : "Dès qu'on le libère (l'esprit), et dans la proportion où on le libère, on s'aperçoit qu'il reçoit mille incidents, que la ligne de son rêve se brise en mille segments suspendus à mille sommets. L'esprit, dans son œuvre de connaissance, se présente comme une file d'instants nettement séparés."[2]

   En effet, c'est dans le surgissement d'une conscience individuelle qui ne se saisit partiellement que dans les actes ponctuels où elle se découvre naissante, donc non dans les prolongements où elle somnolerait, qu'une rêverie sort de l'obscur. Ladite rêverie se déploie ensuite d'une manière non réfléchie, donc non véritablement pensée, en faisant comme si son surgissement était aussi éternel que le néant qui, selon Bachelard, brise chaque conscience lucide après l'avoir constituée : "Penser c'est faire abstraction de certaines expériences, c'est les plonger de plein gré dans l'ombre du néant. (…) [Le néant] est en nous-mêmes, éparpillé le long de notre durée, brisant à chaque instant notre amour, notre foi, notre volonté, notre pensée. Notre hésitation temporelle est ontologique." [3]

   Dès lors, les rêveries de Bachelard sont en elles-mêmes impossibles à conceptualiser puisque nul ne saurait les construire ou les déconstruire, voire les rectifier. Le philosophe sépare en effet les images, les sons et les concepts, car, dans le plaisir d'une rêverie, il rêve sans se voir lui-même rêver en tant qu'auteur de ses rêveries, tout en sachant qu'il a eu auparavant conscience de commencer à rêver. Puis, entraîné par les ondulations de ses rêveries, il sera agréablement, mais inconsciemment, emporté par la diffusion d'images et de sonorités nouvelles, et, surtout, il demeurera à l'écart de toute pensée, a fortiori rationnelle.

   Subsiste néanmoins pour Bachelard une possible définition a posteriori de la rêverie. Cette dernière serait, d'un point de vue psychologique, une mystérieuse "mnémotechnie de l'imagination"[4], c'est-à-dire une opération intellectuelle qui serait surtout fondée et déterminée par la fusion d'images brièvement perçues comme présentes en même temps que des images-souvenirs… Ou bien une rêverie serait fondée sur une superposition d'images présentes et passées, lesquelles sembleraient tourner un peu follement en rond, notamment lorsque "l'avenir de rêverie s'ouvre devant toute image retrouvée." [5]

   Cependant, la situation de Bachelard, solitaire au cœur de ses reposantes rêveries, n'est pas toujours refermée sur elle-même. Elle est aussi fondée sur une métaphysique de la pensée sensible qui tend vers la lumière à partir de quelques lueurs sorties de l'obscur. C'est aussi, surtout, le monde qui rêve et qui détermine Bachelard à s'ouvrir sur les mystères de la beauté ou bien à élargir ses rêveries vers l'infini. Mais, dans les deux cas, à l'écart de toute faille néantisante qui la rendrait inconsciente de ses effets, chaque rêverie est et demeure subjectivement plaisante, notamment en valorisant le bien-être éprouvé, y compris dans la lecture des expressions poétiques les plus imprévisibles. Pour cela, le monde rêvé ne sera toujours qu'un monde admirable, exalté, merveilleux ou idéalisé, comme ce fut le cas, du reste naïvement, dans les états d'âme ambitieux de l'enfance où chacun était emporté par "les folles espérances de la jeunesse (en se faisant) prophétique."[6] Du reste, cette ambitieuse folie déterminée par la volonté de puissance de la nature se poursuivra bien au-delà de l'enfance, notamment chaque fois que des images poétiques, alors fictives, remplaceront les repères rassurants de ce monde : "Les rêveries, les folles rêveries, mènent la vie." [7]

   En fait, c'est dans la lecture où il admirait des images poétiques, c'est-à-dire en revivant les remarquables créations formelles des poètes dans une Poétique du langage[8], et non en cherchant à constituer une éventuelle Poétique de la Poésie [9], que Bachelard a trouvé les images et les mots qui nourrissaient ses rêveries d'une manière toujours très dynamique et idéalisée, puisque le cogito paradoxal de Bachelard, c'est-à-dire la pensée d'un rêveur qui ne se pense pas lui-même en tant que rêveur capable de penser souverainement ses rêveries et de rêver ses pensées, n'est jamais ancré dans (ou sur) une pleine et constante conscience de soi : "le cogito du rêveur se déplace et va prêter son être aux choses, aux bruits, aux parfums. Qui existe ? Quelle détente pour notre propre existence !"[10] .

   Cette détente ontologique est en effet existentielle. Elle absorbe le rêveur qui s'est donné le loisir de vivre pleinement son contact avec des objets plaisants du monde terrestre : "Grâce à une fleur, c'est tout l'être du rêveur qui se détend."[11] Pourquoi ? Sans doute parce que toutes les rêveries gravitent autour d'un centre fictif qui donne à tous les dédoublements possibles d'une existence une certaine harmonie. Par exemple, lorsque le cogito du rêveur se dédouble selon les pôles distincts d'animus et d'anima, c'est-à-dire de l'esprit masculin et de l'esprit féminin, l'imagination (synthétique, comme en un souvenir qui serait pur ou bien qui serait fidèle à une première image) s'unit à la mémoire (surtout analytique[12]) pour apprécier les profondeurs intimes, voire féminines, du monde, sans se séparer totalement de son pôle masculin ou de ses fondements androgynes : "Dans notre rêverie qui imagine en se souvenant, notre passé retrouve de la substance… une mémoire de cosmos."[13] Chaque monde est ainsi rêvé comme une totalité unie, harmonieuse, substantielle, belle et reposante qui se rapporte toujours et instantanément à un centre virtuel ou fictif : "La rêverie travaille en étoile. Elle revient à son centre pour lancer de nouveaux rayons."[14]

   Cependant, le devenir intellectuel de cette fusion avec la nature demeurait pourtant philosophique parce qu'il était le fruit d'une décision phénoménologique au sens où cette décision privilégiait le surgissement original d'un acte conscient, celui de commencer à rêver, de commencer à être pleinement au monde : "Il faut en venir, pour éclairer philosophiquement le problème de l'image poétique, à une phénoménologie de l'imagination. Entendons par là une étude du phénomène de l'image poétique quand l'image émerge dans la conscience comme un produit direct du cœur, de l'âme, de l'être de l'homme saisi dans son actualité." [15]

   Dans ces conditions, la démarche phénoménologique de Bachelard a également été trans-subjective (d'une âme à une autre) et trans-objective puisque chaque image rêvée unissait véritablement le réel et l'irréel (le donné et le virtuel) à partir de germes anonymes et cosmiques qui étaient anonymement subjectivés : "Le cogito de la rêverie s'énoncera ainsi : je rêve le monde, donc le monde existe comme je le rêve."[16] Et cela semble suffire à Bachelard. En tout cas, c'est ainsi que son cogito rêve en créant de nouvelles réalités, du reste plus profondes, donc plus intimes, voire assez folles, notamment "pour nous apprendre à séjourner dans la vie double, à la frontière sensibilisée du réel et de l'imaginaire."[17] Ce qui implique de concevoir l'imaginaire comme une fiction qui se situe "au-delà des images".[18]

   Quoi qu'il en soit, en rêvant, Bachelard fusionne avec les ombres du réel et avec une dynamique spirituelle de l'imaginaire qui participe à la création de nouvelles images nourries par des réalités matérielles, mais qui idéalisent pour cela les quatre éléments qui sont "les hormones de l'imagination" [19](l'eau, l'air, la terre et le feu). Et, pour rêver, il faut également fusionner avec la production de quelques réalités formelles, par exemple en épousant les perspectives abstraites d'une œuvre d'art, ou bien en éprouvant la vérité "des plus folles métaphores"[20], voire en "agençant les rêves et les pensées"[21] dans et par les dédoublements de l'écriture où Bachelard s'est d'abord mis sur le seuil où il "se promet(ait) d’écrire "[22], très simplement pour "entendre les mots avec toute leur résonance"[23].

   Un autre fondement des rêveries poétiques de Bachelard est également intervenu, celui, synthétique et métaphysique, qui agit dans la contemplation des beautés du monde, précisément lorsque le rêveur "s'ouvre au monde" pendant que "le monde s'ouvre à lui."[24] Ces beautés, qui précèdent toutes les vérités possibles[25], sont alors des beautés plus dynamiques que formelles ou matérielles, en tout cas universelles à cause de leur puissance de rayonnement, notamment parce qu'elles "empruntent à la vie, à la matière même, des énergies élémentaires qui sont d'abord transformées, puis transfigurées." [26] Ces beautés tirent ainsi les matières vers les cimes de l'esprit, vers des valorisations et des sublimations (vers un au-delà ou un à-côté) : "La rêverie poétique nous donne le monde des mondes. La rêverie poétique est une rêverie cosmique. Elle est une ouverture à un monde beau, à des mondes beaux." [27] Dans ces conditions, imaginer consiste à valoriser un vouloir d'images matérielles et dynamiques, naissantes et disparaissantes, mais toujours sublimées par leur beauté, laquelle échappe à toutes les descriptions : "En vain, dans le règne des images, on voudra séparer le normatif et le descriptif. L'imagination est nécessairement valorisation. Tant qu'une image ne révèle pas une valeur de beauté, ou, pour parler plus dynamiquement, en vivant la valeur de beauté, tant qu'une image n'a pas une fonction pancaliste, pancalisante, tant qu'elle n'insère pas l'être imaginant dans un univers de beauté, elle ne remplit pas son office dynamique."[28]

   Ainsi, dans son processus phénoménologique, Bachelard a participé à de multiples et imprévisibles naissances d'images rêvées, puis sublimées, notamment à celles qui préparaient la forme insaisissable et éphémère des nuages, tout en désancrant de la réalité : "L'âme qui rêve devant le nuage léger reçoit à la fois l'image matérielle d'une effusion et l'image dynamique d'une ascension. Dans une telle rêverie de la perte du nuage dans le ciel bleu, l'être rêveur participe de tout son être à une sublimation totale. C'est vraiment l'image de la sublimation absolue. C'est le voyage extrême."[29]

   Par ailleurs, il est également possible de chercher à comprendre comment ont été produites les vertus dynamiques des rêveries lorsque la volonté du cogito peut se laisser contraindre à rêver sans choisir ses objets ; car la volonté ne rêve qu'à partir de la volonté de puissance de la nature : "L'imagination dynamique est très exactement le rêve de la volonté ; elle est la volonté qui rêve." [30] Assurément, c'est bien la volonté de la nature qui rêve en rendant le moi étranger à lui-même : "La rêverie donne au moi un non-moi qui est le bien du moi ; le non-moi mien."[31] Ou bien le moi ne veut que réaliser les profondeurs féminines d'une volonté singulière incapable de se concentrer sur elle-même : "Il y a aussi des rêveries qui veulent… Les rêveries de la volonté ne doivent pas venir brutaliser, masculiniser les rêveries de loisir"[32]. En tout cas, par exemple pour Nietzsche, ce n'était jamais le rêveur qui rêvait à quelque chose de précis, puisqu'il était rêvé par la puissance d'un vouloir qui donnait de l'être à ce qu'il avait voulu : "La transmutation de l'être n'est pas une molle et douce émanation, mais est l'œuvre de la volonté pure, c'est-à-dire de la volonté instantanée. Ici, l'imagination dynamique s'impose à l'imagination matérielle : jette toi en haut, libre comme l'air, tu deviendras matière de liberté." [33]

   Enfin, quelles qu'elles soient, de multiples rêveries poétiques, valorisantes et symboliques, certes parfois naïves, toujours solitaires, ont conduit le philosophe non-poète, qui se considérait seulement comme "poétiseur"[34], et qui était surtout un "psychologue métaphysicien"[35], à situer chacune de ses rêveries entre les déterminations des rêves nocturnes et les délires des songes fantastiques[36], notamment lorsque "tout l'être du monde s'amasse poétiquement autour du cogito du rêveur."[37]

 

[1] Bachelard, La Terre et les rêveries de la volonté, Corti, 1948-1965, p. 34.

[2] Bachelard, L'Intuition de l'instant, Gonthier- Médiations, 1973, p.19.

[3] Bachelard, La Dialectique de la durée, PUF, 1972, p.9, 16 et 29.

[4] Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1971, p.96.

[5] Bachelard, Ibidem.

[6] Bachelard, Le Rationalisme appliqué, PUF, 1949, pp.23 et 75.

[7] Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, p.147.

[8] "Il s’agit, dans la Poétique du feu, d’« ébaucher une Poétique du langage, [de] montrer que la Poésie institue un langage autonome et qu’il y a un sens à parler d’une esthétique du langage » (Bachelard, Fragments d’une Poétique du Feu, op. cit., p.36).

[9] « Bien entendu, la Poétique de la Rêverie que nous esquissons n’est à aucun titre une Poétique de la Poésie » (Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, p.136).

[10] Bachelard, La poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, p. 139.

[11] Bachelard, La poétique de la rêverie, P.U.F. 1960-1971, p.133.

[12] "La mémoire ne se réalise donc pas d'elle-même, par une poussée intime. Il faut la distinguer de la rêverie précisément parce que la mémoire véritable possède une substructure temporelle qui manque à la rêverie. L'image de la rêverie est gratuite. Elle n'est pas un souvenir pur parce qu'elle est un souvenir incomplet, non daté. Il n'y a pas de date et de durée où il n'y a pas de construction ; il n'y a pas de date sans dialectique, sans différences. La durée, c'est le complexe des ordinations multiples qui s'assurent l'une sur l'autre. Si l'on prétend vivre dans un domaine unique et homogène, on s'apercevra que le temps ne peut plus marcher. Tout au plus, il sautille. En fait, la durée a toujours besoin d'une altérité pour paraître continue. Ainsi, elle paraît continue par son hétérogénéité, dans un domaine toujours autre que celui où l'on prétend l'observer." (Bachelard, La Dialectique de la durée, PUF, 1972, pp. 50-51).

[13] Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, p.103.

[14] Bachelard, La Psychanalyse du feu, Gallimard, Idées, 1965, p.36.

[15] Bachelard, La Poétique de l'espace, PUF, 1964, p.1.

[16] Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, p.136.

[17] Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, p.139.

[18] Bachelard, L'Air et les songes, Corti, 1943-1965, p.8.

[19] Bachelard, L'Air et les songes, Corti, 1943-1965, p.19.

 

[20] Bachelard, Le Droit de rêver, PUF, 1970, p. 90.

[21] Bachelard, L’air et les songes. Essai sur l’imagination du mouvement, Corti, 1943, p. 283.

[22] Bachelard, La poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, p. 5.

[23] Bachelard, Le droit de rêver, Paris, PUF, « Quadrige », 2001, p. 184.

[24] Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, p.148.

[25] Bachelard, L’air et les songes, 1943, José Corti, p. 192.

[26] Bachelard, Lautréamont, Corti, 1940, pp.104.

[27] Bachelard, La Poétique de la rêverie, 1960, p.12.

[28] Bachelard, L’air et les songes, 1943, José Corti, p.296.

[29] Bachelard, L’air et les songes, 1943, José Corti, p.220.

[30] Bachelard, L'Air et les songes, Corti, 1943-1965, p.110.

[31] Bachelard, La Poétique de la rêverie, 1960, p.12.

[32] Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, p.183.

[33] Bachelard, L'Air et les songes, Corti, 1943-1965, p.167.

[34] Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, p.20.

[35] Bachelard, L'Air et les songes, Corti, 1943-1965, p.20.

[36] Délires refusés par Bachelard : "Jamais nous n'éprouverons le bonheur complet d'une transcendance intégrale qui nous transporterait dans un monde nouveau." (Bachelard, L'Air et les songes, Corti, 1943-1965, p.20).

[37] Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, p.140.

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À propos
claude stéphane perrin

Claude Stéphane PERRIN. Professeur de philosophie à la retraite, j'écris et je lis en méditant sur le problème de la non-violence, notamment à partir d'une idée non indifférente et non nihiliste du neutre .
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