Recherches philosophiques qui, inspirées par l'idée du neutre, vont au-delà du scepticisme vers une interprétation moderne et différentielle (historique et intemporelle) du devenir du principe de raison.
15 Avril 2024
Pour l'homme primitif, la pensée est une rêverie centralisée ; pour l'homme instruit, la rêverie est une pensée détendue. Le sens dynamique est inverse d'un cas à l'autre."[1]
"Psychiquement, nous sommes créés par notre rêverie. Créés et limités par notre rêverie, car c'est la rêverie qui dessine les derniers confins de notre esprit. L'imagination travaille à son sommet, comme une flamme, et c'est dans la région de la métaphore de métaphore…qu'on doit chercher le secret des énergies mutantes " [2]
"Dans leur primitivité psychique, Imagination et Mémoire apparaissent en un complexe indissoluble. On les analyse mal en les rattachant à la perception. Le passé remémoré n'est pas simplement un passé de la perception. Déjà, puisqu'on se souvient, dans une rêverie le passé se désigne comme valeur d'image. L'imagination colore dès l'origine les tableaux qu'elle aimera à revoir. Pour aller jusqu'aux archives de la mémoire, il faut au-delà des faits retrouver des valeurs. On n'analyse pas la familiarité en comptant des répétitions. Les techniques de la psychologie expérimentale ne peuvent guère envisager une étude de l'imagination considérée en ses valeurs créatrices. Pour revivre les valeurs du passé, il faut rêver, il faut accepter cette grande dilatation psychique qu'est la rêverie, dans la paix d'un grand repos. Alors la Mémoire et l'Imagination rivalisent pour nous rendre les images qui tiennent à notre vie." [3]
"Les véritables images, les images de la rêverie, sont unitaires ou binaires. Elles peuvent rêver dans la monotonie d'une substance. Si elles désirent une combinaison, c'est une combinaison de deux éléments."[4]
"Dès qu'on le libère (l'esprit), et dans la proportion où on le libère, on s'aperçoit qu'il reçoit mille incidents, que la ligne de son rêve se brise en mille segments suspendus à mille sommets. L'esprit, dans son œuvre de connaissance, se présente comme une file d'instants nettement séparés."[5]
"La rêverie reprend sans cesse les thèmes primitifs, travaille sans cesse comme une âme primitive, en dépit des succès de la pensée élaborée."[6]
"Le rêve chemine linéairement, oubliant son chemin en courant. La rêverie travaille en étoile. Elle revient à son centre pour lancer de nouveaux rayons."[7]
"Plus simple est leur objet, plus grandes sont les rêveries." [8]
"Les métaphores portent toujours le signe de l'inconscient ; elles sont des rêves dont la cause occasionnelle est un objet. Aussi, quand le signe métaphorique est le signe même des désirs sexuels, nous croyons qu'il faut interpréter les mots dans le sens fort, dans le sens plein, comme une décharge de la libido."[9]
"Alors, au rêveur cosmique, au rêveur qui achève et augmente toute image, sont révélées les valeurs cosmiques de la chevelure. Les plus folles métaphores sont vraies. La chevelure est une forêt, c'est une forêt enchantée. Les doigts s'y perdent en une caresse sans fin. Elle est touffe, elle est liane. Elle est parure, chef d'œuvre féminin. Voilà le végétalisme animal, le végétalisme humain, le végétalisme si profond de la femme…" [10]
"Ce qui est purement factice pour la connaissance objective reste donc profondément réel et actif pour les rêveries inconscientes. Le rêve est plus fort que l'expérience."[11]
"Le rêve nocturne peut bien être une lutte violente ou rusée contre les censures. La rêverie nous fait connaître le langage sans censure. Dans la rêverie solitaire nous pouvons nous dire tout à nous-mêmes."[12]
"Le moindre objet est pour le philosophe qui rêve une perspective où s'ordonne toute sa personnalité, ses plus secrètes et ses plus solitaires pensées (…) Le moindre objet fidèlement contemplé nous isole et nous multiplie. Devant beaucoup d'objets, l'être rêvant sent sa solitude. Devant un seul, le sujet rêvant sent sa multiplicité." [13]
"Plus on va vers le passé, plus apparaît comme indissoluble le mixte psychologique mémoire-imagination. Si l'on veut participer à l'existentialisme du poétique, il faut renforcer l'union de l'imagination et de la mémoire. Pour cela, il faut se débarrasser de la mémoire historienne qui impose ses privilèges idéatifs. Ce n'est pas une mémoire vivante que celle qui court sur l'échelle des dates sans séjourner assez dans les sites du souvenir. La mémoire-imagination nous fait vivre des situations non événementielles, en un existentialisme du poétique qui se débarrasse des accidents. Disons mieux, nous vivons un essentialisme poétique. Dans notre rêverie qui imagine en se souvenant, notre passé retrouve de la substance. Par delà le pittoresque, les liens de l'âme humaine et du monde sont forts. Vit alors en nous non pas une mémoire d'histoire mais une mémoire de cosmos. Les heures où il ne se passait rien reviennent. Grandes et belles heures de la vie d'autrefois où l'être rêveur dominait tout ennui."[14]
"La mémoire ne se réalise donc pas d'elle-même, par une poussée intime. Il faut la distinguer de la rêverie précisément parce que la mémoire véritable possède une substructure temporelle qui manque à la rêverie. L'image de la rêverie est gratuite. Elle n'est pas un souvenir pur parce qu'elle est un souvenir incomplet, non daté. Il n'y a pas de date et de durée où il n'y a pas de construction ; il n'y a pas de date sans dialectique, sans différences. La durée, c'est le complexe des ordinations multiples qui s'assurent l'une sur l'autre. Si l'on prétend vivre dans un domaine unique et homogène, on s'apercevra que le temps ne peut plus marcher. Tout au plus, il sautille. En fait, la durée a toujours besoin d'une altérité pour paraître continue. Ainsi, elle paraît continue par son hétérogénéité, dans un domaine toujours autre que celui où l'on prétend l'observer." [15]
"Les grands rêves cosmiques qui attachent l'homme aux éléments, au feu, à l'eau, à l'air céleste, à la prodigieuse matérialité des substances terrestres."[16]
"On ne rêve pas profondément avec des objets. Pour rêver profondément, il faut rêver avec des matières." [17]
"Si l'on admet qu'à une erreur biologique sans doute manifeste mais bien générale peut correspondre une vérité onirique profonde, on est prêt à interpréter les songes matériellement. À côté de la psychanalyse des rêves devra donc figurer une psychophysique et une psychochimie des rêves. Cette psychanalyse très matérialiste rejoindra les vieux préceptes qui voulaient que les maladies élémentaires fussent guéries par les médecines élémentaires. L'élément matériel est déterminant pour la maladie comme pour la guérison. Nous souffrons par les rêves et nous guérissons par les rêves. Dans la cosmologie du rêve, les éléments matériels restent les éléments fondamentaux."[18]
"On s'aperçoit que la rêverie matérialisante – cette rêverie qui rêve la matière – est un au-delà des formes. Plus brièvement, on comprend que la matière est l'inconscient de la forme."[19]
"En développant, dans toute sa généralité, cette Physique, ou cette Chimie de la rêverie, on arriverait facilement à une doctrine tétravalente des tempéraments poétiques. En effet, la tétravalence de la rêverie est aussi nette, aussi productive, que la tétravalence chimique du carbone." [20]
"Du feu, de l'air, de la lumière, toute chose qui monte a du divin aussi ; tout rêve déployé est partie intégrante de l'être de la fleur. La flamme de vie de l'être qui fleurit est une tension vers le monde de la pure lumière."[21]
"L'homme rêvant devant son foyer est, au contraire, l'homme des profondeurs et l'homme d'un devenir. Ou encore, pour mieux dire, le feu donne à l'homme qui rêve la leçon d'une profondeur qui a un devenir : la flamme sort du cœur des branches." [22]
"Pour nous qui nous bornons à psychanalyser une couche psychique moins profonde, plus intellectualisée, nous devons remplacer l'étude des rêves par l'étude de la rêverie… (…) Il y aurait donc place, croyons-nous, pour une psychanalyse indirecte et seconde, qui chercherait toujours l'inconscient sous le conscient, la valeur subjective sous l'évidence objective, la rêverie sous l'expérience. On ne peut étudier que ce qu'on a d'abord rêvé. La science se forme plutôt sur une rêverie que sur une expérience et il faut bien des expériences pour effacer les brumes du songe. (…) Quand on contemple une hache de silex taillé, il est impossible de résister à cette idée que chaque facette bien placée a été obtenue par une réduction de la force, par une force inhibée, contenue, administrée, bref par une force psychanalysée."[23]
"En fait, c'est peut-être sous son aspect d'énergie imaginée que le dualisme philosophique du sujet et de l'objet se présente en plus franc équilibre ; en d'autres termes, dans le règne de l'imagination, on peut aussi bien dire que la résistance réelle suscite des rêveries dynamiques ou que les rêveries dynamiques vont réveiller une résistance endormie dans les profondeurs de la matière. Novalis a publié dans Athenaeum des pages qui éclairent cette loi de l'égalité de l'action et de la réaction transposée en loi de l'imagination. Pour Novalis, "dans chaque contact s'engendre une substance, dont l'effet dure aussi longtemps que dure le toucher". Autant dire que la substance est dotée de l'acte de nous toucher. Elle nous touche, comme nous la touchons, durement ou doucement. Novalis continue : "Cela est le fondement de toutes les modifications synthétiques de l'individu." Ainsi, pour l’idéalisme magique de Novalis, c'est l'être humain qui éveille la matière, c'est le contact de la main merveilleuse, le contact pourvu de tous les rêves du tact imaginant qui donne vie aux qualités sommeillant dans les choses.» [24]
"Mais on peut trouver chez les grands rêveurs de la verticalité des images plus exceptionnelles encore où l'être apparaît comme déployé à la fois dans le destin de la hauteur et dans celui de la profondeur. On aura un exemple de cette étonnante image dans l'œuvre d'un génie du rêve, chez Novalis : «Si l'univers est en quelque sorte un précipité de la nature humaine, le monde des dieux en est la sublimation.» [25]
"On ne rêve pas près de l'eau sans formuler une dialectique du reflet et de la profondeur. Il semble que, du fond des eaux, on ne sait quelle matière vienne nourrir le reflet." [26]
"Ces rêves mous, si l'on pouvait les étudier systématiquement, conduiraient à la connaissance d'une imagination mésomorphe, c'est-à-dire d'une imagination intermédiaire entre l'imagination formelle et l'imagination matérielle. (…) En méditant cette action du pur et de l'impur, on saisira une transformation de l'imagination matérielle en imagination dynamique. L'eau pure et l'eau impure ne sont plus seulement pensées comme des substances, elles sont pensées comme des forces. (…) Quand on s'est ainsi soumis entièrement à l'imagination matérielle, la matière rêvée dans sa puissance élémentaire s'exaltera jusqu'à devenir un esprit, une volonté. (…) L'imagination reproductrice masque et entrave l'imagination créatrice. Finalement, le véritable domaine pour étudier l'imagination, ce n'est pas la peinture, c'est l'œuvre littéraire, c'est le mot, c'est la phrase. Alors combien la forme est peu de choses ! Comme la matière commande ! Quel grand maître que le ruisseau !"[27]
"On ne peut comprendre la dynamique du rêve si on la détache de la dynamique des éléments matériels que le rêve travaille. On prend la mobilité des formes du rêve dans une mauvaise perspective quand on oublie son dynamisme interne. Au fond, les formes sont mobiles parce que l'inconscient s'en désintéresse. Ce qui attache l'inconscient, ce qui lui impose une loi dynamique, dans le règne des images, c'est la vie dans la profondeur d'un élément matériel. Le rêve de Novalis est un rêve formé dans la méditation d'une eau qui enveloppe et pénètre le rêveur d'une eau qui apporte un bien-être chaud et massif, un bien-être à la fois en volume et en densité. C'est un enchantement non pas par les images, mais par les substances. C'est pourquoi on peut user du rêve novalisien comme d'un merveilleux narcotique. Il est presque une substance psychique qui donne le calme à tout psychisme agité. (…) Le rêve de Novalis appartient en effet à la nombreuse catégorie des rêves bercés. Quand il entre dans l'eau merveilleuse, la première impression du rêveur est celle de "reposer parmi les nuages, dans la pourpre du soir". Un peu plus tard, il croira être "étendu sur une molle pelouse". Quelle est donc la vraie matière qui porte le rêveur ? Ce n'est ni le nuage ni la molle pelouse, c'est l'eau. Nuage et pelouse sont des expressions ; l'eau est l'impression. Dans le rêve de Novalis, elle est au centre de l'expérience ; elle continue à bercer le rêveur quand il repose sur la berge. C'est là un exemple de l'action permanente d'un élément matériel onirique. Des quatre éléments, il n'y a que l'eau qui puisse bercer. C'est elle l'élément berçant. C'est un trait de plus de son caractère féminin : elle berce comme une mère. L'inconscient ne formule pas son principe d'Archimède, mais il le vit.» [28]
"Bien que le présent ouvrage soit un nouvel exemple, après la Psychanalyse du feu, de la loi des quatre éléments poétiques, nous n'avons pas retenu pour titre La Psychanalyse de l'Eau qui aurait pu faire pendant à notre ancien essai. Nous avons choisi un titre plus vague : L'Eau et les Rêves. C'est là une obligation de la sincérité. Pour parler de psychanalyse, il faut avoir classé les images originelles sans laisser à aucune d'elles la trace de ses premiers privilèges ; il faut avoir désigné, puis désuni, des complexes qui ont longtemps noué des désirs et des rêves. (…) La sincérité nous oblige à confesser que nous n'avons pas réussi le même redressement à l'égard de l'eau. Les images de l'eau, nous les vivons encore, nous les vivons synthétiquement dans leur complexité première en leur donnant souvent notre adhésion irraisonnée. (…) Une psychanalyse des images de l'eau est donc rarement nécessaire puisque ces images se dispersent comme d'elles-mêmes. Et elles n'ensorcellent pas n'importe quel rêveur." [29]
"Les êtres du rêve, chez Novalis, n'existent donc que lorsqu'on les touche, l'eau devient femme seulement contre la poitrine, elle ne donne pas des images lointaines. Ce caractère physique très curieux de certains rêves novalisiens nous semble mériter un nom. Au lieu de dire que Novalis est un Voyant qui voit l'invisible, nous dirions volontiers que c'est un Touchant qui touche l'intouchable, l'impalpable, l'irréel. Il va plus au fond que tous les rêveurs. Son rêve est un rêve de rêve, non pas dans le sens éthéré, mais dans le sens de la profondeur. (…) C'est une imagination qui se développe en profondeur. Les fantômes sortent de la substance comme des formes vaporeuses, mais pleines, comme des êtres éphémères, mais qu'on a pu toucher, auxquels on a communiqué un peu de la chaleur profonde de la vie intime. Tous les rêves de Novalis portent le signe de cette profondeur. Le rêve où Novalis trouve cette eau merveilleuse, cette eau qui met de la jeune fille partout, cette eau qui donne de la jeune fille au partitif n'est pas un rêve à grand horizon, à large vision. C'est au fond d'une grotte, dans le sein de la terre, que se trouve le lac merveilleux, le lac qui garde jalousement sa chaleur, sa douce chaleur. Les images visuelles qui naîtront d'une eau si profondément valorisée n'auront d'ailleurs aucune consistance ; elles se fondront l'une dans l'autre, gardant en cela la marque hydrique et calorifique de leur origine. Seule, la matière demeurera." [30]
"En dehors de toute métaphore, il faut l'union d'une activité rêveuse et d'une activité idéative pour produire une œuvre poétique. L'art est de la nature greffée." [31]
"La poétique de la rêverie est une poétique de l'anima." [32]
"Le poème est essentiellement une aspiration à des images nouvelles. Il correspond au besoin essentiel de nouveauté qui caractérise le psychisme humain. (…) Il n'y a pas de poésie antécédente à l'acte du verbe poétique. (…) La première tâche du poète est de désancrer en nous une matière qui veut rêver." [33]
"Les rêveries, les folles rêveries, mènent la vie." [34]
"Quelle mollesse hermaphrodite ! Dans la vie seule, avec la politesse qui cache les exigences premières, on peut demander «un verre de vin ou un verre de lait». Mais dans le rêve, dans les véritables mythes, on demande toujours ce que l'on veut. On sait toujours ce qu'on veut boire. On boit toujours la même chose. Ce que l'on boit en rêve est une marque infaillible pour désigner le rêveur."[35]
"Il faut beaucoup rêver – rêver en prenant conscience que la vie est un rêve, que ce qu'on rêve au-delà de ce qu'on a vécu est vrai, est vivant, est là, présent en toute vérité devant nos yeux."[36]
"Or la rêverie qui tend à la miniature tend à la profondeur et à la stabilité ; c'est la rêverie qui finalement prépare le mieux la pensée rationnelle.[37]
"Ailleurs le dodécaèdre (dans la gravure d'Albert Flocon intitulée, Châteaux en Espagne) est cueilli comme le fruit géométrique d'un rêve rationnel. La pomme d'une molle rodeur se géométrise dans la main vigoureuse et gourmande. Les objets sont ici placés philosophiquement entre nature et mesure, entre rêverie et création. Comment ne pas songer à la Mélancolie Mathématicienne d'Albert Dürer ! Un rêve de dimensions complices, de dimensions mystiques entraîne le vieux et le jeune graveur quand ils donnent aux objets leur atmosphère cosmique. Le polyèdre d'Albert Dürer et le dodécaèdre d'Albert Flocon sont des principes de rêves organisateurs." [38]
"Tout travail patient et rythmique, qui réclame une longue suite d'opérations monotones, entraîne l'homo faber à la rêverie. Alors il incorpore sa rêverie et ses chants à la matière élaborée ; il coefficiente la substance longuement travaillée. L'effort partiel, le geste élémentaire ne dessinent plus les limites géométriques de l'objet ; c'est le groupement des gestes dans le temps, c'est la cadence qui est une connaissance claire et joyeuse (…) Toute cette énorme surcharge du rêve, toute cette valorisation des substances par le temps passé à les préparer, il faudra en débarrasser la pensée scientifique. Il faudra dévaloriser le produit d'un travail patient si l'on veut psychanalyser la connaissance objective." [39]
"Il y a toujours un peu de naïveté dans la volonté de puissance. Le destin de la volonté de puissance est, en effet, de rêver la puissance au-delà du pouvoir effectif. Sans cette frange de rêve, la volonté de puissance serait impuissante. C'est par ses rêves que la volonté de puissance est la plus offensive. Dès lors, celui qui veut être un surhomme retrouve tout naturellement les mêmes rêves que l'enfant qui voudrait être un homme." [40]
[1] Bachelard, La Psychanalyse du feu, Gallimard, Idées, 1965, p.44.
[2] Bachelard, La Psychanalyse du feu, 1938, Gallimard, Idées, 1965, p. 181.
[3] Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, pp.89-90.
[4] Bachelard, L'Eau et les rêves, Corti, 1942-1971, pp. 2, 4, 49 et 129.
[5] Bachelard, L'Intuition de l'instant, Gonthier- Médiations, 1973, p.19.
[6] Bachelard, La Psychanalyse du feu, Gallimard, Idées, 1965, p. 13.
[7] Bachelard, La Psychanalyse du feu, Gallimard, Idées, 1965, p.36.
[8] Bachelard, La Flamme d'une chandelle, Quadrige/PUF n°52, p.57.
[9] Bachelard, La Formation de l'esprit scientifique, Vrin, 1970, p.194.
[10] Bachelard, Le Droit de rêver, PUF, 1970, p. 90.
[11] Bachelard, La Psychanalyse du feu, Gallimard, Idées, 1965, p.40.
[12] Bachelard, La Poétique de la rêverie, 1960, p. 49.
[13] Bachelard, Le Droit de rêver, P.U.F, 1970, p.236.
[14] Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, pp. 102-103.
[15] Bachelard, La Dialectique de la durée, PUF, 1972, pp. 50-51.
[16] Bachelard, Le Droit de rêver, P.U.F, 1970, p. 38.
[17] Bachelard, L'Eau et les rêves, Corti, 1942-1971, p.33.
[18] Bachelard, L'Eau et les rêves, Corti, 1942-1971, p.6.
[19] Bachelard, L'Eau et les rêves, Corti, 1942-1971, p.70.
[20] Bachelard, La Psychanalyse du feu, Gallimard, Idées, 1965, p.148.
[21] Bachelard, La Flamme d'une chandelle, 1961-1970, p.86.
[22] Bachelard, La Psychanalyse du feu, Gallimard, (1949) Idées, 1965, p. 93.
[23] Bachelard, La Psychanalyse du feu, Gallimard, (1949) Idées, 1965, pp.23, 26, 32, 44 et 57.
[24] Bachelard, La Terre et les rêveries de la volonté, Corti, 1948-1965, p. 24.
[25] Novalis, Fragments inédits, Hymnes à la nuit, Stock, p.98.
[26] Bachelard, Le Droit de rêver, P.U.F, 1970, p. 11-12.
[27] Bachelard, L'Eau et les rêves, Corti, 1942-1971, pp. 1-2, 4, 23, 116, 126, 144, 195, 197, 252.
[28] Bachelard, L'Eau et les rêves, Corti, 1942-1971, pp. 176 et 177.
[29] Bachelard, L'Eau et les rêves, Corti, 1942-1971, pp. 9-10, 30.
[30] Bachelard, L'Eau et les rêves, Corti, 1942-1971, pp. 172 et 173.
[31] Bachelard, L'Eau et les rêves, Corti, 1942-1971, p.15.
[32] Bachelard, La Flamme d'une chandelle, 1961-1970, p. 5.
[33] Bachelard, L'Air et les songes, Corti, 1943-1965, p.7-8, 14, 217.
[34] Bachelard, La Poétique de la rêverie, PUF, 1960-1971, p.147.
[35] Bachelard, L'Eau et les rêves, Corti, 1942-1971, p.169.
[36] Bachelard, Le Droit de rêver, PUF, 1970, p. 19.
[37] Bachelard, La Psychanalyse du feu, Gallimard, Idées, 1965, p.144.
[38] Bachelard, Le Droit de rêver, PUF, 1970, p. 96.
[39] Bachelard, La Formation de l'esprit scientifique, Vrin, 1970, p. 123.
[40] Bachelard, L'Eau et les rêves, Corti, 1942-1971, p.240.
Claude Stéphane PERRIN. Professeur de philosophie à la retraite, j'écris et je lis en méditant sur le problème de la non-violence, notamment à partir d'une idée non indifférente et non nihiliste du neutre .
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